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Le Lait

D’après le médecin Ledochowdki, nutritionniste (Innsbrück) qui s’occupe des intolérances alimentaires, le lait moderne n’a plus rien à voir avec le produit d’origine car il subit de 20 à 30 transformations qui posent problème car notre système digestif est conçu pour supporter le lait tel qu’il était à l’origine. Mais la récente évolution de l’industrie agroalimentaire est telle, que notre corps n’a pas eu le temps de s’adapter. Il faudrait plusieurs générations pour y parvenir.

 

De plus En Europe centrale, 1 personne sur 7 est intolérante au lactose

En fait l’intolérance est la norme, car une fois sevrée 75% de la population mondiale perd la capacité à digérer le lactose, qui se trouve fermenté par les bactéries de l’intestin provoquant des maux de ventre, diarrhées, ballonnements, etc.

 

Toujours selon le Dr. Ledochowski, le lait n’apporte rien aux enfants et ados, bien au contraire.

Une protéine animale de lait ingérée par des enfants jeunes a une corrélation avec leur surpoids à l’adolescence.

 Le lait n’a plus sa place dans l’alimentation de base d’un enfant de plus de 5 ans qui peut développer de l’allergie, de l’asthme et à long terme, avec l’hypersollicitation du système immunitaire, des maladies autoimmunes (qui à ce jour sont les maladies qui augmentent le plus chez les enfants), du diabète, l’arthrite juvénile, etc.

 Les produits laitiers pour enfants contiennent en plus beaucoup de sucres ajoutés.

 

 

Le lait et ses dérivés sont riches en calcium. Si nous en avons besoin de 1200 mg par jour pour avoir des os en bonne santé, cela voudrait dire qu’il faudrait boire 1 litre de lait/jour. Cela signifie aussi que tous les mammifères sevrés seraient sujet à l’ostéoporose. Toutes les personnes sevrées et intolérantes au lactose devraient souffrir d’ostéoporose.

 Or, c'est dans les pays qui consomment le moins de lait, que le taux d’ostéoporose est le plus faible.

 D’après les études de Mickaelson, les personnes en Suède qui boivent beaucoup de lait ont plus de fracture de hanche et une mortalité plus importante. Ceci s’explique par le galactose du lait. Par contre dans le fromage ou les yahourts il y a nettement moins de galactose.

 

 

D’après le Dr Thomas Rau (Suisse) Les vaches ont changé surtout depuis 1983, elles sont nourries différemment.

De façon générale, le lait est plus riche en protéines, mais contient moins d’acides gras de type omega 3 et a perdu énormément d’oligo-éléments.

 

Une protéine (béta lacto protéine) du lait peut provoquer des allergies (beaucoup plus que le gluten, les fruits à coque ou le lactose). Or suite aux multiples transformations du lait, cette protéine est encore plus présente.

 

Les personnes allergiques au lait de vache et au gluten (maladie coeliaque) peuvent avoir des allergies secondaires (pollen, fraises ou poils de chat). Ce sont des allergies croisées.

 

Chez les patients normaux, le taux d’allergie IGG4 à la lactoprotéine est de 60%

Pour les pathologies autoimmunes, le taux est de 80% .

En cas de cancers, ce taux monte à 95%

 

Les produits laitiers provoquent des troubles immunitaires (notre système de défense), ce qui se traduit par une fragilité aux infections (angine chronique ou sinusite chronique), car la pasteurisation modifie les protéines.

 

Le neurologue de Courbevoie Aranda conseille d’arrêter le lait en cas de céphalées ou de migraines

En effet, La mauvaise dégradation du lactose entraîne la production de déchets ayant un effet toxique.

Autres symptômes : fatigue, mauvais sommeil, tête dans le brouillard

 

En élevage bio, les vaches ne sont pas sous pression et ont encore leurs cornes.

La vache ne mange naturellement QUE de l’herbe. En bio, il n’y a aucun additif ni antibiotique préventif.

 

En élevage intensif, du maïs et de l’huile de palme sont rajoutés. Des antibiotiques sont donnés pour éviter une inflammation des pis. Or, ils perturbent l’équilibre naturel et la vache devient plus fragile. De plus les antibiotiques sont éliminés dans l’urine donc dans les sols en modifiant la croissance des plantes..et avec le temps, les hommes développent une résistance aux antibiotiques.

 

Il y a 200 ans, la vache championne du monde produisait 2000 litres de lait par an. Aujourd’hui on en est à 27000.

Une telle quantité ne peut se faire qu’au détriment de la santé des bêtes.

Avec les surplus de l'hyperproduction, les prix baissent et la pression augmente encore plus pour produire toujours plus.

 

D’après le professeur Melnik, le lait est un dopant qui stimule tout l’organisme par le foie qui sécrète l’hormone de croissance. Cette croissance trop rapide de l'organisme perturbe le système endocrinien, donc favorise l’acné, le diabète. Elle serait aussi la cause des maladies de civilisation : parkinson, maladies autoimmunes, etc...